mercredi 1 juillet 2009

samedi 27 juin 2009

En ce jour de départ, je voulais faire une petite halte par le marché de Saint Tropez, mais l'été s'étant installé et avec lui son flot de vacanciers, impossible de se garer !

J'ai quand même pu constater que certaines font leur marché en toute simplicité ! C'est ça la classe !



Nous partons donc vers Marseille par la route côtière.

BORMES LES MIMOSAS


Outre le fait que, comme beaucoup de villages de l'arrière pays accrochés sur la montagne, Bormes les Mimosas est très mignon et sympa à visiter, c'est surtout l'éden des jardiniers en herbe !

Des fleurs à tous les coins de rues plus éclatantes les unes que les autres ! du bonheur j'vous dis !













Par un évènement mystérieux les photos de Marseille et d'Arles ont disparu !

Quel souvenir garde-t-on de Marseille ? Nous sommes arrivés par les montagnes de l'arrière pays et sommes directement montés à Notre Dame de la Garde. Le panorama est saisissant et la basilique manifique. Elle a été restaurée et ses pierres blanches sont étincellantes tout comme les dorures de la nef.

Le détail qui tue ? Les centaines de plaques en marbres accrochées dedans et dehors où sont gravés les remerciements pour les voeux exocés ou un marin sauvé.

Nous sommes ensuite descendus vers le célébrissime vieux port, moi qui m'attendais a un univers à la Pagnol, bateaux de pêcheurs et odeur de poisson, je suis vite tombée de mon nuage !

Nous avons quand même tenté quelques pas et avons poussé le vice jusqu'à commander 3 crèpes et 2 boissons sur une terrasse face au port.

Mais les Marseillais sont fiers d'être Marseillais et nous le font payer ! retour dans la voiture !

Marseille est la ville la plus moche qui nous ait été donné de visiter ! Pourtant avec Hervé quand on visite une ville on ne lache pas l'affaire, on tourne et retourne pour tenter de trouver un endroit sympa ... mais là que nenni !

Je lance donc un appel à vous lecteurs du blog, si vous avez une photo de Marseille qui me prouve le contraire je ferai publiquement mon méa culpa et réviserai ma copie.

Mais pour le moment : beurk !

Nous nous enfuyons donc - heu partons, pour Arles où nous faisons escale pour la nuit.

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